Pourquoi j’ai choisi le régime cétogène?

Depuis une dizaine d’années, et ce en mangeant très bien et en ne changeant pas mon alimentation, j’ai pris plus de 15 livres.
Je prenais de la graisse au niveau du ventre et des hanches. Moi qui ai toujours eu un ventre assez plat, j’avais un bourrelet autour de ma taille.

Lorsque l’on prend environ une livre par année on se dit que c’est parce que je vieillis et que je suis en ménopause. Pourtant, je fais plus d’exercice depuis 10 ans que dans mes 40 premières années.

En tant que naturopathe, je sais qu’il est normal de prendre quelques livres à la ménopause. Cependant, j’ai réalisé mon «pattern» de prise de poids, je me suis posée beaucoup de questions et fait des recherches pour comprendre.
J’ai compris que ce n’était pas nécessaire de manger plus pour prendre du poids. Le stress continuel que j’ai vécu il y a quelques années a causé de la résistance à l’insuline chez moi qui a causé ma prise de poids.
Le régime cétogène est en train de renverser cet état chez moi.

La deuxième raison pour laquelle j’ai choisi de m’alimenter de façon cétogène est que la science prouve de plus en plus le lien entre ce régime et les maladies neurologiques (Alzheimer, parkinson, épilepsie, SLA, etc.). Les bons gras sont essentiels pour nourrir notre cerveau.

Ma mère souffre d’Alzheimer et ma sœur est décédée en avril 2018 de la maladie SLA (sclérose latérale amyotrophique). Elle est partie comme un coup de vent en moins de 2 mois, sans rien pouvoir faire. J’ai cherché à comprendre le SLA. J’ai passé des semaines à faire des recherches et à lire des livres pour trouver un dénominateur commun qui est (et là je vulgarise un peu) : «les cellules du cerveau meurent dû à une intoxication et de l’inflammation. Une des raisons, et bien sur ce n’est pas la seule, est à cause des glucides qui font monter l’insuline, qui a son tour cause des dommages au cerveau. Plusieurs des livres et articles que j’ai lus faisaient référence au régime cétogène pour améliorer certains symptômes et prévenir les maladies neurologiques.
Pour moi, c’est la raison principale de mon choix alimentaire.
La prévention.

Un livre simple et facile à comprendre sur ce sujet si ça vous intéresse est «Le régime cétogène pour votre cerveau».

 

Ce qui c’est amélioré dans ma santé depuis que j’ai commencé ce mode de vie.

Mon sommeil

Depuis 2004, suite à un stress intense et soutenu qui a duré quelques années, mon sommeil n’était vraiment pas optimal. Certaines nuits, je me réveillais souvent sans être capable de me rendormir, d’autres nuits, je n’arrivais pas du tout à m’endormir ou encore l’anxiété prenait le dessus sans même que je sois dans un moment stressant de ma vie. À ce moment-là, si je ne prenais pas  un médicament pour l’anxiété je passais toute la nuit réveillée.

Depuis le mois de mai, je m’endors en quelques minutes et je dors toutes mes nuits profondément et je me réveille très en forme.

Ma digestion

Même si je mangeais très bien, j’avais presque chaque jour des inconforts dans l’intestin. Des ballonnements, des gonflements. Il se créait de l’air dans mon intestin qui était très désagréable. J’ai compris que c’était les glucides qui me causaient ça. Depuis que j’ai changé pour le céto, je me sens vraiment beaucoup mieux.

Mon cerveau

Dès la deuxième semaine, j’ai remarqué que mon cerveau était plus «allumé», comme s’il était plus aux aguets, plus alerte. J’ai remarqué aussi que ma mémoire et ma concentration sont différentes. Sans dire que c’est parfait,  je sens clairement une amélioration.

Mon énergie

Bien que je sois une personne en forme qui ne manquait pas d’énergie. Depuis la ménopause, mon énergie n’était plus la même. J’étais plus au ralenti, comme un peu lourde. Depuis,  je ressens une différence marquée dans celle-ci. Je me sens plus légère, comme une impression de flotter, d’être sur un nuage. Lorsque je me couche, je ne suis jamais épuisée, ni même fatiguée la plupart du temps. C’est un peu difficile à expliquer cette sensation de bien-être et de légèreté.

Perte de poids

Ce n’était pas la raison principale de ce changement alimentaire, mais c’est apprécié. Comme je l’ai mentionné plus haut, chaque année je prenais environ une livre de plus. Ayant toujours été contre les régimes amaigrissants qui causaient plus de tort que de bien au corps, je n’ai jamais rien fait d’autre que de bien manger et bouger plus. Pas de fast-food. Pas de mauvais gras. Pas de glucides raffinés. Pas de jus, boissons gazeuses ou autres. Je ne buvais que de l’eau ou presque. Pratiquement jamais de dessert.
Cependant, je prenais des collations entre les repas.
Eh bien, au mois de mai 2018 j’avais 153.3 lb (69.7 kg), en août 2018, 148 (67.28kg), en novembre 2018 j’en suis à 142.8 lb (64.9kg), en janvier 2019, j’en suis à 138.5 lb (69.95kg).
Pas beaucoup me direz- vous!
Pour moi c’est un exploit puisque j’ai de la résistance à l’insuline qui est longue à renverser.

En conclusion malgré qu’il y a certains efforts à faire pour diminuer les glucides, pour moi ce n’est que du positif.

 

 

 

 

 

Le conformiste n’est pas notre nature

Une petite animation espagnole, Alike touche nos cœurs à travers un message qui résonne avec l’expérience de chacun. Beaucoup trop souvent nous nous laissons aller sur un élan de conformité qui nuit à notre perception de nous et des autres.

Les enfants n’ont pas encore été touché par la banalité et la négativité de la vie dans nos société de consommation. Leur passion pour les petites choses de la vie peut nous réapprendre de voir ce qui est vraiment important pour notre bonheur et bien-être. Si nous faisons uniquement ce que la société attend de nous, nous risquons de perdre l’étincelle de joie et de créativité que nous portons dès notre enfance. Ce que cette belle animation nous rappelle c’est que nous pouvons observer les enfants et apprendre de leur exemple d’authenticité pour nous sortir du conformisme qui nous étouffe chaque jour.

Nous, les humains, ont la responsabilité de permettre à nos esprits de grandir et fleurir sans pour autant perdre notre joie, imagination et honnêteté d’enfant. Nous devons aussi préserver notre curiosité naturelle et la laisser rayonner de notre personne vers le monde extérieur. Nous continuons à nous battre pour des croyances qui ne nous servent plus en tant qu’individus ou société et nous sommes les seules qui peuvent changer cela. Apprenons à mettre la technologie de côté de temps en temps et sortons dehors. Soyons des personnes fortes qui savent dire oui ou non selon ce que nous trouvons juste, utile ou excitant. Nous avons la capacité d’apprendre à nous soigner des dégâts de la conformité excessive qui nous est imposé.

Source: http://luniversestennous.com

L’excellence? Ce n’est toujours que ce que l’on voit

Je dédie cet article à tous les étudiants et étudiantes comme ma fille, qui ont travaillé vraiment très fort pour arriver à passer au travers la session d’école. Que ce soit au primaire, au secondaire, au Cégep ou à l’université, certaines personnes doivent mettre les bouchées doubles, doivent se priver de sortie, d’aller faire du sport ou de voir la famille pour consacrer plus d’heures aux études , parce qu’elles n’ont pas la facilité à l’école que d’autres personnes ont.

Ces personnes sont fières de finir avec un 70 comme note parce qu’elles savent qu’elles ont tout donné. Pour moi un ce n’est qu’un nombre.

Sans vouloir rien n’enlever aux personnes qui ont de la facilité, réussir avec un 90 sans trop avoir étudié et avoir un 70 en ayant tout donné, pour moi la vraie championne c’est la deuxième.

Voici un excellent article à ce sujet écrit par Mario Scott ancien entraîneur d’équipes sportives.

L’excellence? Ce n’est toujours que ce que l’on voit

La perfection n’existe pas pourtant…

Nous vivons dans une société où on nous bombarde partout à coup d’«excellence », dont le synonyme est « perfection », en nous faisant croire que c’est le but ultime que nous devons tous atteindre. D’ailleurs, remarquez tous les qualificatifs utilisés pour à peu près n’importe lequel produit de consommation ou service censé nous rendre plus heureux dans la vie : meilleur, champion, super, or, maximum, la crème, suprême, améliorée, unique, quintessence… Et que dire de tous les concours, les compétitions, les défit et j’en passe… où souvent ce ne sont pas les meilleurs qui gagnent. Et le monde des affaires n’est pas en reste, on mesure le succès en réalisations financières et matérielles.

Né pour être une élite

Plusieurs personnes « naissent » championnes. Je m’explique. Mais auparavant, sachez que je n’enlève rien à ces dernières, rien, surtout pas leur mérite. Cependant, force est d’admettre que pour plusieurs personnes la vie est plutôt de leur côté, elle les a choyés. En ce sens qu’elles sont nées sous une bonne étoile.
Prenons l’exemple d’un jeune athlète et d’une virtuose du piano qui viennent au monde dans une famille bien nantie et dont un ou plusieurs membres ont déjà tracé le chemin en ayant les caractéristiques de leur future carrière. Les chances que le jeune suive ces traces bien établies sont nombreuses. Cette personne élite a l’encadrement financier, moral et psychologique afin de pouvoir atteindre cet important échelon, pour eux, qu’est l’excellence.

L’excellence ce n’est toujours que ce que l’on voit

Bien entendu, il y a tout le parcours sinueux que l’élite a parcouru et dont on ne cesse de parler une fois sur la plus haute marche du podium. Je le répète, je ne leur enlève rien et je ne juge surtout pas leur performance. Cependant, je veux faire réfléchir sur le fait que, souvent, ces champions nés dans l’élitisme de l’excellence avaient tout pour réussir : l’encadrement familial, l’argent, les gênes… Alors, j’écris bien que l’excellence ce n’est pas toujours que ce que l’on voit… Il y a malheureusement des oubliés dont les racines ne sont pas aussi éloquentes. Mais, bravo à tous! Car n’est pas champion qui veut.

Le mérite est à la hauteur du chemin parcouru

Ce que je veux souligner, c’est que le meilleur n’est pas toujours celui que l’on pense.
Le champion, le vrai, n’est pas toujours celui que l’on voit. Ceux et celles qui sont dans l’ombre de leur exploit, dont on n’entend pas souvent parler, sauf, parfois, avec cette expression consacrée : « il ou elle revient de loin »…

J’ai fait un tableau afin d’illustrer mon propos, pour rendre à César ce qui est à César.

excellence

En tant qu’ancien entraîneur d’équipes sportives, j’ai toujours eu, et j’ai encore, beaucoup plus d’admiration pour une personne que l’on attend pas là, à ce résultat, et qui travaille avec acharnement à l’atteinte de son objectif personnel, et ce, dans les limites de ses moyens.
Personnellement, j’ai toujours tenté de créer, d’obtenir, la meilleure chimie possible au sein de mon groupe de joueurs en les sensibilisant à la notion d’équipe. Tout simplement, en faisant comprendre aux joueurs élites et aux moins doués, pour ne pas dire moins nantis que chacun avait sa place et un rôle important à jouer.

Je sensibilisais ceux dont la vie les avait affublés d’un talent inné, qu’ils avaient besoin des autres moins talentueux. Mon exemple étant de comparer le talent sportif reconnu d’un joueur, au talent, par exemple, en dessin d’un autre moins habile en sport… Chacun n’avait pas la même chance. L’un et l’autre n’était pas pour autant dépourvu de potentiel dans la vie. Il s’agissait d’amalgamer les forces aux faiblesses de l’autre. Et le tour était joué!
Le secret, et il demeure toujours d’actualité, c’est d’intégrer tout ce beau monde à un objectif commun en assimilant les distinctions particulières de tout un chacun et en les faisant surtout comprendre et accepter. L’équipe avant l’individu!

C’est dans ce contexte que j’ai pensé à ce tableau il y a une dizaine d’années. Au cours de ma vie, j’ai vite réalisé que certaines personnes atteignaient des sommets personnels remarquables dans leur vie, que ce soit au travail ou ailleurs, en ayant parcouru un chemin, très souvent, pas du tout similaire à une personne dans élite.
J’ai une admiration sans bornes pour ces « minorités invisibles ».
Invisibles? Oui! Parce que l’on en a toujours que pour l’élite éblouissante teintée d’or, en oubliant ces acharnés dans l’ombre du long parcours.

Vous êtes des champions

Je vous dis donc ceci.
Parfois, au lieu de ne pas vous sentir à la hauteur d’une personne que l’on catégorise dans d’élite, que ce soit au travail, dans votre vie, dans les sports, peu importe… persévérez, allez votre chemin en vous faisant confiance, croyez en vos moyens, croyez en vous. Vous aussi vous êtes capable d’atteindre des sommets. Il vous faudra peut-être un peu plus de temps, de recourir à plus de moyens, mais le long chemin parcouru n’en sera que plus méritoire, avec la satisfaction du devoir accompli, lorsque vous atteindrez ne serait-ce que la troisième marche du podium, ou même à côté, mais très près de celui-ci.
Car le mérite, le vrai, est à la hauteur du chemin parcouru. Vous vous direz alors : « Je viens de très loin… » Rappelez-vous-en!

Article écrit par Mario Scott

Merci pour cet article.

Pour mieux digérer le temps des fêtes

La période des fêtes a-t-elle été pour vous synonyme de fatigue et de problèmes digestifs ?

En général, ceci est dû au fait qu’en cette période nous mangeons différemment et que notre tube digestif s’en ressent. Nous mangeons à n’importe quelle heure du jour ou (beaucoup trop) tard le soir, nous mélangeons dans le même repas les gras, les protéines, le sucre, l’alcool et pour la plupart, nous mangeons beaucoup trop.

Tous ces excès occasionnent une digestion lente accompagnée de son armée de symptômes tels que la sensation de lourdeur ou de brûlures de l’estomac, rôts (rapports), flatulences, constipation ou diarrhée, etc. Pendant et après cette période festive, il est très important de supporter votre digestion, tout particulièrement si vous avez une vie sociale active.

Saviez-vous que votre digestion peut accaparer jusqu’à 80% de votre énergie ?

Alors si vous êtes déjà fatigué. Vous avez tout intérêt à prendre quelques précautions et faire très attention à votre digestion pendant la période des fêtes.

LE FOIE

Un foie lent (voir symptômes plus bas) est en général LA plus grande cause des problèmes digestifs durant la période des fêtes.
Voici quelques conseils qui vous seront utiles pour soutenir votre foie :

  • Ne mangez pas trop
  • Commencez votre repas avec des légumes crus
  • Attention aux petites bouchées servies en entrée, elles sont en général très grasses et très difficiles à digérer pour le foie
  • Préférez les fromages faibles en gras
  • L’alcool doit être consommé en quantité limitée
  • Prendre 1 c. à soupe de jus de citron frais au début et à la fin du repas dans un peu d’eau (attention pour certaines personnes, le jus de citron peut donner des douleurs articulaires s’il est pris à répétition)
  • Pas de fruits après les repas, cela ralentit énormément la digestion et fait perdre beaucoup d’énergie
  • Évitez les desserts
  • Prenez des enzymes digestives en mangeant ou à la fin du repas (voir plus bas)
  • Prenez du mahonia à feuille de houx ou une tisane qui aide le foie. Ces produits aident le foie avec la digestion des gras

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Votre partenaire est votre miroir !

 

N’est-ce pas fascinant de savoir que vous pouvez apprendre à vous connaître grâce au reflet que les autres vous renvoient ?

La théorie du miroir est un outil très puissant qui nous permet d’évoluer grâce à nos relations. Selon moi c’est l’outil le plus efficace pour devenir conscients de qui nous sommes réellement. Encore faut-il savoir et avoir envie de l’utiliser a bon escient.

Il nous est souvent difficile d’admettre et reconnaître que l’autre puisse être notre miroir surtout lorsqu’il se comporte d’une manière qui nous offusque. Comment l’autre peut-il l’être alors que nous trouvons justement son comportement désobligeant ou déplacé ? Nous n’oserions certainement pas nous comporter de la sorte, nous !

Et pourtant l’autre nous renvoie véritablement notre reflet. Il s’avère simplement que nous n’en sommes pas conscients et que la plupart d’entre nous ne savons pas interpréter cette approche. Généralement, nous avons plutôt tendance à accuser l’autre et à vouloir le changer lorsqu’il nous dérange, plutôt que d’utiliser cette occasion pour apprendre à nous connaître à travers le reflet qu’il nous renvoie.

Lorsque vous vous regardez dans un miroir et que vous y voyez un aspect de vous qui vous dérange – comme par exemple, le fait de trouver votre corps disgracieux, ou des boutons sur votre visage, ou une peau ridée – cela ne vous viendrait certainement pas à l’esprit de jeter votre miroir ou de le briser car vous savez que cela ne changerait rien aux aspects que vous venez de constater en vous. C’est pourtant ce que nous faisons la plupart du temps lorsqu’une personne nous dérange. Elle est notre miroir mais nous rejetons ce que nous voyons en elle et qui est pourtant notre reflet. En faisant cela nous ne réglons rien et l’aspect qu’elle nous renvoie et que nous possédons ne s’effacera pas pour autant. Au contraire, il continuera de persister à travers le reflet que nous renvoie cette personne ou à travers d’autres personnes qui nous dérangeront de la même manière.

Pour comprendre cette théorie il est nécessaire d’intégrer que ce n’est pas le comportement de l’autre qui est notre miroir mais l’aspect en lui qui nous dérange. C’est ce que nous lui reprochons au niveau du ÊTRE et non au niveau du FAIRE qui est notre reflet.
Nous possédons naturellement ce même aspect et très souvent nous nous contrôlons pour ne pas le montrer parce que selon notre système de valeur ce n’est pas correct d’Être ainsi, c’est ce que nous avons appris et que nous avons reçu comme enseignement.
En fait, il n’y a rien que nous ne puissions voir chez l’autre qui n’existe pas en nous et ce que nous voyons chez l’autre est encore plus accentué chez nous. Tout ce que nous voyons à l’extérieur de nous est un reflet de ce qui se passe à l’intérieur de nous.

Les aspects que nous n’aimons pas chez l’autre, nous ne les aimons pas non plus en nous. Nous avons besoin d’apprendre à devenir conscients et à aimer ces aspects en nous. Lorsque nous les aimerons en nous, nous les aimerons aussi chez les autres et les autres ne nous dérangeront plus. Nous ne remarquerons même plus ces aspects chez les autres. Nous sommes tous ici pour apprendre à nous aimer totalement et inconditionnellement, c’est-à-dire, tels que nous sommes, avec nos aspects sombres et nos aspects lumineux. C’est le seul moyen pour parvenir à la transformation. Nous ne pouvons rien transformer en nous sans en être d’abord devenus conscients, puis, l’accepter. C’est à partir de cette attitude que notre vision de la vie se transforme de manière extraordinaire.

votre-miroirLa raison pour laquelle nous ne voulons pas admettre et accepter que l’autre nous renvoie un reflet de nous-mêmes c’est parce que nous sommes persuadés que cette attitude fait de nous des êtres meilleurs que nous ne pensons l’être en réalité. Nous nous mentons à nous-mêmes ! Nous nous faisons croire que nous sommes meilleurs que ce que nous voyons chez l’autre mais ce n’est qu’une illusion et tant que nous continuerons dans cette inconscience nous n’effaceront pas notre souffrance.

Cette attitude nous garde prisonniers de notre souffrance et ne donne aucun résultat. Nous souffrons parce que nous nous renions. Tant que nous n’aimerons pas ces aspects en nous que nous rejetons, notre souffrance ne fera que grandir.

Ne pas vouloir voir l’aspect que l’autre nous renvoie c’est se renier et nous le faisons parce que nous avons des peurs. Nous avons peur d’être jugés, peur de déplaire, peur d’être abandonnés, peur d’être rejetés, peur d’être ridicules, etc. Plutôt que de fuir nos peurs, il est nécessaire d’en devenir conscients, de les reconnaître et les affronter.

Lorsque votre partenaire vous dérange, demandez-vous ce que vous lui reprochez, non pas au niveau de son comportement, mais de ce qu’il EST , selon vous, lorsqu’il se comporte ainsi. La réponse que vous trouverez à ce questionnement est l’aspect que vous possédez, vous aussi. Cet aspect vous l’avez soit envers vous-mêmes, soit envers d’autres personnes, ou les deux à la fois et vous pouvez avoir cet aspect dans divers domaines et dans toute sorte de relations. Une fois que vous l’aurez reconnu, demandez-vous qu’elle est la peur inconsciente qui vous empêche de reconnaître cet aspect en vous et de l’assumer. Vous comprendrez alors pourquoi vous rejetez autant cet aspect. Ensuite essayez de vous souvenir et de devenir conscient d’une circonstance où vous avez eu ce même aspect et vérifiez quelle était votre motivation dans cette circonstance. Cela vous permettra de comprendre que la personne qui est votre miroir a elle aussi une motivation personnelle à se comporter ainsi avec vous et qu’elle n’a pas intentionnellement prévu de vous blesser.

Voici un exemple qui illustre bien cette approche : j’ai souvent attiré des partenaires à qui je reprochais leurs comportements démontrant qu’ils ne voulaient pas s’engager dans une relation durable avec moi. Un de ces comportements étaient notamment le fait qu’ils commençaient par me séduire mais qu’après la phase de séduction, lorsque j’étais prête à m’engager dans la relation, ils commençaient à prendre leur distance et c’était à ce moment là que je m’accrochais à eux de peur d’être abandonnée. Je leur reprochais donc d’ÊTRE des hommes immatures et je ne voulais pas voir que j’étais moi-même une femme immature lorsque je m’accrochai à eux.

Je le faisais parce que j’avais peur de les perdre, peur d’être abandonnée, mais je n’en était pas consciente et surtout je ne voulais pas reconnaître ni assumer cette peur en moi. Nous avons peur d’affronter nos peurs, c’est pourquoi nous les occultons. Une fois que j’en ai pris conscience et que j’ai assumé cet aspect en moi – le fait que j’étais une femme immature quand je m’accrochai – je me suis demandée quelle était ma motivation dans mon comportement et j’ai réalisé que c’était mon besoin d’Être sécurisée par mon partenaire et de fuir ma peur d’être abandonnée. En réalité mon véritable besoin était d’Être sécurisée par moi-même car aucune personne autre que nous-mêmes ne peut nous sécuriser.

C’est en questionnant de nombreux hommes ayant vécu ce genre de situation que j’ai réalisé que leur motivation dans leur comportement était également un besoin d’être sécurisés, non pas par leur partenaires, mais par rapport au fait de conserver leur liberté. Ils n’ont donc pas ce comportement avec l’intention de nous blesser mais pour répondre à leur besoins.

J’ai alors compris que l’autre est notre miroir, dans le sens où il nous montre un aspect de nous dont nous ne sommes pas conscients et que nous renions mais également dans le sens où il se permet d’agir comme nous aimerions le faire et dont nous nous donnons pas ce droit à cause de nos peurs.
Nous nous empêchons donc d’ÊTRE qui nous sommes réellement dans le moment présent. Nous faisons cela parce qu’à ce moment là nous ne sommes pas qui nous aimerions ÊTRE et nous croyons que c’est en agissant ainsi que nous finirons par le devenir. Mais c’est tout l’inverse qui se produit ! Et c’est un cercle vicieux qui se répète sans cesse dans notre Vie car nous utilisons toujours le même procédé qui ne fonctionne pas. Nous avons beau constater que ça ne fonctionne pas, nous continuons de nous comporter comme nous l’avons toujours fait.

Sachez que le seul moyen pour devenir ce que vous voulez ÊTRE c’est d’abord d’accepter d’ÊTRE ce que vous ne voulez pas ÊTRE. Il n’y a pas de transformation sans acceptation ! Vous devrez d’abord devenir conscient de qui vous êtes maintenant. Vous aimer et vous accepter tel que vous êtes maintenant, pour pouvoir devenir qui vous voulez ÊTRE.

coeur-magneticobonheurCe travail n’est possible que grâce au miroir qui nous reflète qui nous sommes dans l’instant présent. Voilà pourquoi la Vie nous envoie sans cesse nos propres reflets par le biais de personnes qui nous sont proches ou par des personnes qui croisent notre route parfois uniquement dans cet objectif. Et dans chaque histoire le mot de la fin revient encore et toujours à l’AMOUR !
L’Amour que nous avons pour nous-mêmes. Aimons-nous tels que nous sommes !

 

Cristina Marques

Cet article a été écrit par Cristina Marques. Si vous souhaitez partager cet article voici le lien complet :
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Merci de respecter la mise en forme, et de ne pas modifier le texte ni les images.
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La grippe est à la porte… Évitez d’être son hôte!

Mieux comprendre la grippe afin de mieux l’éviter!

La grippe saisonnière, aussi appelée influenza, est de retour. Partout autour de nous, les gens se mouche, éternue, tousse, ou crache.
La grippe, causée par des virus, est une infection des voies respiratoires et des poumons qui se transmet facilement. La grippe est plus grave que le rhume. Elle est très soudaine et envahit tout le corps. Elle se manifeste par un mal de gorge, une toux, un écoulement et/ou une congestion nasale, de la fatigue, des maux de tête, des frissons souvent accompagnés de fièvre, la perte d’appétit ainsi que des douleurs musculaires et articulaires.Autres manifestations possibles : une sensation de brûlure dans les yeux, des sueurs nocturnes et une gastro-entérite virale. Après une grippe, la sensation de faiblesse, de fatigue ou même la toux peuvent durer jusqu’à trois semaines.

Saviez-vous que les personnes grippées demeurent contagieuses tant que leurs symptômes persistent?

La grippe… on évite aussi de se la partager!

Un éternuement peut envoyer plus de 5,000 gouttelettes respiratoires dans l’air à une vitesse de 75 km/h!!!

Afin d’éviter la propagation, lorsque vous toussez, couvrez-vous la bouche avec le creux de votre coude. Évitez de tousser dans vos mains car vous contaminez votre environnement par la suite. Ce n’est pas pour rien que les hôpitaux demandent aux personnes qui toussent de porter un masque…
La grippe…on l’évite tout court ! Les germes et virus prospèrent lorsque les muqueuses des sinus et des voies nasales sont sèches et donc moins bien lubrifiées, alors :

    • Buvez beaucoup de liquides, particulièrement de l’eau, tout au long de la journée (vous aidera à garder vos muqueuses humides, pour mieux contrer les virus)
    • Lavez-vous les mains souvent et évitez de toucher vos yeux, votre bouche ou votre nez (ce sont des portes d’entrée du virus)
    • Renforcez votre système immunitaire
    • Ayez une saine alimentation
    • Réduisez votre consommation d’alcool, de sucre et de caféine
    • Dormez suffisamment
    • Ouvrez les fenêtres de la maison 15 minutes tous les jours (pour changer et renouveler l’air)
  • Gargarisez-vous à l’eau salée pour soulager les maux de gorge

Lorsque la grippe est installée il faut prendre des produits naturels afin que ça ne dégénère pas en infection des voies respiratoires telle la bronchite ou encore la pneumonie.

N’hésitez pas à me contacter pour des conseils sur les produits naturels.

Le temps de la gastro est de retour…

Ayez les bons réflexes pour l’éviter!

La gastro-entérite, qu’on appelle plus familièrement « gastro », est une affection saisonnière de l’automne et de l’hiver. Aussi appelée « grippe intestinale », elle n’est habituellement pas causée par le virus de la grippe mais par un autre virus.
Il arrive quand même que la gastro soit occasionnée par une infection bactérienne ou parasitaire du tube digestif.

Qu’est-ce que la gastro-entérite?

La gastro-entérite est un trouble digestif fulgurant qui cause nausées, vomissements, crampes à l’abdomen et diarrhée.
Elle est le symptôme apparent d’un problème sous-jacent. La cause majeure est très souvent le débalancement de la flore bactérienne ou appelée plus communément, la flore intestinale. Cette flore représente 70% du système immunitaire. On peut comparer la flore bactérienne à des soldats qui sont là pour nous défendre. Lorsque les soldats sont affaiblis, les intrus (microbes, bactéries, virus) peuvent entrer plus facilement dans le tube digestif.

Les symptômes

    • Diarrhée
    • Perte d’appétit
    • Crampes abdominales
  • Vomissements (à l’occasion)

Dans certains cas :

    • Nausées et vomissements apparaissant brutalement
    • Une légère fièvre (38 ºC ou 101 ºF)
    • Maux de tête
    • Chez les adultes en santé, les symptômes durent d’un à trois jours.
  • Exceptionnellement, ils peuvent persister jusqu’à sept jours.

Après contamination, les symptômes surviennent…
De 12 heures à 24 heures plus tard, si c’est un virus.
1 heure à 12 heures plus tard, si c’est une bactérie.

Comment l’éviter?

misos-compressé

La meilleure façon d’éviter la gastro est d’avoir, comme mentionné plus haut, des soldats protecteurs en santé qui sont les bonnes bactéries de notre flore bactérienne. Cette flore de bonnes bactéries est votre première ligne de défense. Lorsque vos bonnes bactéries sont en forme et en nombre suffisant, les virus et bactéries nuisibles sont expulsés très rapidement.

Au niveau alimentaire, il est très possible d’établir et de maintenir une bonne flore bactérienne. Le miso et les lactofermentations ou fermentations lactiques (pas les marinades!) sont des aliments quasi miraculeux pour la reconstitution de la flore intestinale et bactérienne en générale.

Les Aliments Massawippi sont producteurs de misos de très grandes qualités. Vous trouverez les misos dans les frigos des magasins d’alimentation naturelle de même que les lactofermentations.
Plus bas, vous trouverez aussi des suggestions de produits naturels à prendre à titre préventif et même curatif.

Laver les mains

Laver ses mains régulièrement à l’eau savonneuse (surtout avant de manger, avant de préparer les repas).
Ne pas mettre les mains dans la bouche. C’est la façon la plus courante d’attraper la gastro.

Le mal-a-dit ou la maladie qui nous parle…

Comment se fait-il que des gens qui travaillent dans un même espace n’attrapent pas tous la gastro ou le rhume ou encore la grippe ?

Bien sûr, il y a toute la mécanique physiologique, système immunitaire défaillant, mauvaise alimentation, etc, à prendre en considération. Mais encore… est-ce vraiment la seule raison ?
Et si notre corps nous parlait de ce que la tête veut exprimer ?

Dans toutes approches symboliques du mal-a-dit, chaque organe est relié à une fonction psychologique. Le type de maladie que nous développons nous mène droit sur la piste de la tension inconsciente qui nous habite. Notre psyché nous envoie trois types de messages corporels : les tensions (musculaires ou autres), les traumatismes (chocs, coupures, entorses, fractures ou autres, vont se produire en des endroits bien précis de notre corps où, conformément à ce qu’enseigne l’acupuncture, ils stimuleront ou débloqueront les énergies du point touché) la maladie (nous met dans l’obligation de nous arrêter totalement pour nous tourner vers nous-mêmes et nous interroger).

Plusieurs approches existent en ce qui a trait à l’interprétation symbolique des maladies. Je n’en prône pas une plus que l’autre. Je ne fais que vous donner une piste ou un pense-bête à propos de la relation maladie et psyché…

Et maintenant, que nous dit la gastro ?

Qu’elle est reliée au rejet d’une situation, avec colère réprimée…
À vous de voir. Est-ce que cette piste vous «parle» ?
Posez-vous des questions, même si elles ont l’air farfelu. Observez votre ressenti.
Quelles émotions surgissent ?
Autant de pistes à suivre pour votre bien-être.

Quoi faire en cas de gastro?

Cesser l’alimentation habituelle.

Afin d’éviter la déshydratation, boire régulièrement de l’eau de riz (voir recette ci-dessous) en alternance avec du Pédialyte maison, aussitôt que l’estomac le permet.
Ces boissons faites maison empêcheront l’organisme de se déminéraliser suite à l’importante perte d’eau occasionnée par les vomissements et la diarrhée. Elles aident aussi à maintenir notre fragile équilibre électrolytique, et ce, tout particulièrement chez les enfants.

*Le Pédialyte est un produit pharmaceutique, commercialisé en Amérique du nord, ayant pour but de maintenir l’équilibre électrolytique et d’aider à éviter la déshydratation des enfants malades. Il est composé principalement de glucose, de sel, de potassium et de citrate de sodium. Ce n’est, à mon avis, pas un produit santé. Le fait-maison est bien plus adéquat et complet si l’on prend du sel de mer complet, tel celui offert par Le Paludier.

Manger des aliments spécifiques lorsque la faim réapparaît : Purée de carottes (sans lait), purée de pommes de terre (sans lait), poulet bouilli, bouillon de légumes maison, bouillon de poulet maison dégraissé. Rajoutez du miso à vos bouillons! Ensuite, ajouter des biscottes santé et du riz.

Trois jours sans vomissements ou diarrhées seront les indices de la reprise de l’alimentation habituelle. Éviter quand même les aliments gras et les viandes autres que le poulet bouilli au début de la reprise alimentaire.

Recette d’eau de riz

Porter à ébullition pendant 30 minutes, ¼ de tasse de riz brun dans 4 tasses d’eau pure, ajouter ½ c. à thé de sel de mer complet gris (mieux que le sel de table) et au moment de servir rajouter un tout petit peu de miel ou autre sucrant naturel. Filtrer au tamis, laisser tiédir et servez.

Recette de « Pédialyte » maison

Dans 2 tasses d’eau bouillie, mettre 2 c. à thé de sucre, 1/8 de c. à thé de sel de mer complet gris (mieux que le sel de table) et le jus de ½ citron frais (ou d’orange). Boire tiède.

Attention aux signes de déshydratation  – Consultez un médecin sans plus tarder !

    • Une sécheresse de la bouche et de la peau.
    • Des envies d’uriner moins fréquentes et une urine plus foncée que d’habitude.
    • Des crampes musculaires. La faiblesse.
  • Des yeux creux. Un état de choc ou un évanouissement.
N’hésitez pas à me contacter pour des suggestions de produits naturels qui pourraient vous aider.

J’espère que cet article vous a aider.

Vous aimeriez que j’écrive sur un sujet qui vous intéresse?

Écrivez-le moi dans les commentaires.

Êtes-vous bien armé pour l’Halloween ?

Quel bon moment que l’Halloween pour vous parler de sucre!

La soirée d’Halloween est un moment heureux et magique. Il y a des centaines de monstres, de sorcières et de fantômes partout dans les rues ramassant des quantités incroyables de bonbons.
Quel festin attend ces petits monstres et leurs parents bien sûr : des centaines de friandises à manger! Quel bonheur pour les enfants (petits et grands)! Tout comme une bonne partie des gens qui reçoivent ce bulletin, je suis moi-même maman d’une grande fille. Que vos enfants soient grands ou très jeunes, plusieurs passent encore l’Halloween.
Même en tant que naturopathe, je ne pourrai pas briser le bonheur de cette soirée en les empêchant de manger des bonbons. Ce qui ne veut pas dire que je ne suis pas consciente de l’effet néfaste qu’aura le sucre sur leur santé et ce, pendant des jours, voire même des semaines.

Alors que pouvez-vous faire?

Tout d’abord, voici les résultats d’une expérience révélatrice faite en laboratoire à l’université Loma, en Californie.
Des études ont prouvé que le sucre réduit la capacité des globules blancs qui représentent une bonne partie de notre système immunitaire chargé d’éliminer et de neutraliser les organismes dangereux qui entrent dans le sang.

En temps normal :

  • Un globule blanc peut vaincre 14 bactéries.
  • Cinq minutes après avoir mangé 6 cuillères à thé de sucre, un globule blanc peut vaincre 10 bactéries.
  • Cinq minutes après avoir mangé 12 cuillères à thé de sucre, il peut vaincre 5 ½ bactéries.
  • Cinq minutes après avoir mangé 18 cuillères à thé de sucre, il peut vaincre 2 bactéries.
  • Cinq minutes après avoir mangé 24 cuillères à thé de sucre, il peut vaincre ½ bactérie.

Quelques aliments et leur équivalence en cuillère à thé de sucre:

  • Snickers, 59 g : 5 c. à thé
  • Reeses au beurre d’arachides, 42g : 4 c. à thé
  • Starburst fruit : 5 c. à thé
  • Petite boîte de raisins Sun-maid : 5 c. à thé
  • Fruit by the foot, 21g : 2 c. à thé
  • 12 onces de boisson gazeuse : 10 c. à thé
  • 8 onces de lait au chocolat : 6 c. à thé
  • 8 onces de jus : 6 c. à thé
  • ½ tasse de crème glacée : 6 c. à thé
  • 1 beigne nature : 4 c. à thé

Combien de sucre pensez-vous manger à l’Halloween?

Comme vous pouvez le constater c’est facile de se rendre à 15 ou 20 cuillères à thé de sucre. Je n’ai plus besoin de vous convaincre que le sucre n’est pas très bon pour notre système de défense. Mais nous n’allons pas gâcher la fête pour autant.

Bien sûr, je vous suggère de rester en contrôle des bonbons et de les faire disparaître discrètement après cette super soirée.
Mais l’Halloween étant ce qu’elle est, je vous ferai plutôt des recommandations pour aider à la situation.

Quelle est la solution ?

Il faut faire de la prévention et sortir l’armée de petits soldats!

Puisque le sucre a comme conséquence d’affaiblir le système immunitaire en détruisant les bonnes bactéries de l’intestin, c’est exactement là qu’il faut travailler.

Il faut prendre des bactéries amicales. Des probiotiques, vous connaissez?

Vous les connaissez peut-être sous le terme «Les capsules de yogourt»?

Je mange du yogourt me direz-vous!

Disons que les bactéries vivantes dans le yogourt, ne sont vraiment pas une bonne source. Même s’ils contiennent des bonnes bactéries, la concentration est très insuffisante et pour la majeure partie du temps, les bactéries sont mortes. Le temps de survie de la plupart des bactéries actives est très limité.

Un yogourt additionné de probiotiques doit être consommé moins d’une semaine après sa fabrication et même alors, la plupart des bactéries n’y survivent pas. Alors ne vous fiez surtout pas au yogourt pour aider votre système immunitaire.

Je vous suggère de prendre des probiotiques en capsules qui seront beaucoup plus efficaces.

Prendre des bonnes bactéries, peut vous éviter des problèmes de santé comme la gastro ou un bon rhume ou des otites chez les enfants. Je vous suggère fortement d’en prendre.

J’espère que ces conseils vous seront utiles. N’hésitez pas à me contacter, il me fera plaisir de vous répondre.

Les apparences sont parfois trompeuses et vous empêchent d’atteindre vos objectifs.

 

Samedi dernier était une journée spéciale pour moi. Mon amoureux, moi et un groupe de ses amis avons décidé de partir une fin de semaine pour faire de la randonnée pédestre au mont Lafayette au New Hampshire aux États-Unis.

Quatorze kilomètres de montée, de roche, de branches, d’eau, de vent, de froid, de descente, mais aussi une vue à couper le souffle et un très grand défi à relever pour moi.

Cette montagne me faisait peur puisqu’on me disait que c’était de niveau difficile et qu’il fallait 4 heures environ pour faire la montée et  3 heures pour la descente.

Arrivée au chalet le vendredi soir, une discussion débute en lien avec la journée du lendemain. Une personne dit : «Ça prends 8 heures pour faire le mont Lafayette», une autre personne renchérie en disant : «Je l’ai fait l’année dernière et ça m’a pris 10 heures, et elle ajoute, j’ai commencé à 8h pour sortir de la montagne à 18h».
Moi qui étais déjà inquiète de ne pas pouvoir y arriver puisque je n’avais monté que deux montagnes, une m’a pris 3 heures et l’autre 4 heures, là, j’étais découragée d’entendre ça. Je me disais en dedans : «Je n’y arriverai jamais, ça n’a pas de sens d’y aller, je vais retarder tout le monde». Ma tête part en boucle et l’anxiété se met de la partie.

22h, je vais me coucher et ma tête continue de penser aux 8 à 10 heures de marche du lendemain. C’est presque trois fois ce que j’ai fait… comment vais-je faire pour y arriver?

J’essaie de relaxer, de méditer, d’écouter de la musique. Mon hamster intérieur n’arrête pas. Je regarde l’heure, il est 23h30, je dois dormir, demain je dois être en forme, je dois me lever à 5h30. Mon petit hamster continu, 1h, 2h du matin, je ne dors toujours pas.
Il ne me reste que 3h30 à dormir, je dois dormir. Je suis presque en panique en dedans. Je pense à mon chum (Michel, mon amoureux) et à ses amis.
Qu’est-ce qu’ils vont penser de moi, je n’y arriverai pas, je ne peux pas grimper une montagne comme ça sans dormir, c’est impossible!

Je ne veux pas décevoir Michel, mais là, c’est surtout moi qui commence à être déçue de moi.

Comment vais-je faire pour lui dire qu’à cause que je n’ai pas dormi, je ne veux pas monter cette montagne? Il est tellement heureux que je sois là et je le suis aussi. Je voulais relever ce défi, mais là, je me sens mal, mon cœur bat vite.

3h30, je pense à ma fille Meggie qui passe des moments difficiles et je suis constamment en train de lui dire :«Ne lâche pas ma cocotte tu vas y arriver, une journée, une heure à la fois, ne baisse pas les bras j’ai confiance en toi», et là je me voyais lui dire : «Je n’ai pas fait la randonnée parce que je n’ai pas dormi». Quelle déception!
La fatigue l’emporte, j’éclate en sanglots.
Je me suis finalement effondrée et endormie vers 4 h je crois.

5h30, on me réveille, je suis si fatiguée!

Je dis à Michel, je n’irai pas faire la randonnée, je n’ai pas dormi et je m’en sens incapable.

Je vois la déception dans ces yeux, mais aussi beaucoup de tendresse et d’amour pour moi, s’il avait été capable, il m’aurait portée.
Après quelques minutes il me dit : «Madeleine, c’est toi qui décides et personne ici ne vas te juger, mais je te connais assez pour savoir que si tu restes au chalet, tu vas le regretter toute la journée, mais si tu essayes, peu importe le résultat, tu seras fière de l’avoir essayé. Et il ajoute, je vais rester avec toi et nous irons à ta vitesse.
Tu n’es pas obligé de faire toute la randonnée, nous pouvons en faire un bout et revenir sur nos pas. Prends quelques minutes pour y penser».

Et là, malgré la fatigue et l’insécurité, je me suis dit exactement ce que je dis à ma fille: «Essaye au moins, ne rien faire c’est une déception assurée. Essayer, peu importe le résultat, tu seras fière de l’avoir fait».

Hop, je me lève!

Après avoir pris un petit déjeuner très rapidement, me voilà au pied de la montagne à 8h prête à grimper.

J’ai commencé en me disant, un pas à la fois, une minute à la fois, je fais confiance à mon corps.

Les deux premières heures ont été très difficiles, j’avais les jambes molles, fatiguées et à bout de souffle. À plusieurs reprises j’ai failli abandonner et à chaque fois je me disais, un pas à la fois Madeleine, ne regarde pas en haut. Concentre-toi sur la prochaine roche à grimper, ne pense à rien d’autre.
Mon chum m’encourageait beaucoup aussi.

Malgré la fatigue, j’ai atteint  le premier de trois sommets à 11h.
Quelle fierté j’ai ressentie à ce moment-là! Mon premier de 3 objectifs était atteint.

Maintenant j’ai le choix de retourner sur mes pas et en 2 heures je serai en bas.
Retourner aurait été satisfaisant et j’aurais été fière de moi, mais atteindre le 2e et 3e sommet était de dépasser mes limites.

Je choisis de continuer.

Le 2e sommet a été atteint à 11h45 sans trop de difficulté, mais le 3e sommet a été plus de travail. Il ventait très fort et il faisait très froid. À 12h30 (4h30 après mon départ), j’ai touché la pancarte sur laquelle était inscrit
[symple_highlight color= »blue »]MT LAFAYETTE SUMMIT
1603M 5260FT.[/symple_highlight]

YAHOOO, J’Y SUIS ARRIVÉE!

Le sentiment profond que j’avais était plus que de la fierté, c’est le sentiment du dépassement, d’avoir été au bout de moi. J’étais tellement heureuse d’avoir réussi, et quelle vue j’avais du haut de cette montagne!

Après cette formidable expérience, je ne douterai plus de mes capacités. J’ai remercié mon corps de m’avoir amenée en haut.

Après une pause de 40 minutes pour manger et me reposer, me voilà repartie pour la descente. Descente qui a été assez pénible puisque mes genoux et mes chevilles étaient douloureux.
Il m’a fallu 4 heures pour la descente avec quelques arrêts pour soigner mes douleurs (vive les huiles essentielles).

17h30, j’arrive au pied de la montagne. soit 9h30 plus tard. Je suis crevée, mais heureuse de mon accomplissement.

La morale de cette histoire, ne vous laissez pas limiter par les apparences, elles peuvent être trompeuses et vous empêcher d’atteindre vos objectifs.
Vous serez toujours plus fière d’essayer que de ne rien faire et d’accepter votre sort.

 

Et vous, vous est-il arrivé de vous dépasser et d’aller au-delà de vos limites? Partagez-moi vos expériences dans les commentaires.

Les poux, ces bestioles si désagréables!

La saison des poux est malheureusement arrivée !

Le moment de panique qui suit la lecture de la lettre provenant de l’école est difficilement compréhensible pour quelqu’un qui n’a jamais vécu l’expérience ! Car sincèrement, c’est une expérience qui n’est pas agréable. Difficile de croire qu’un si petit être peut créer tant de tracas !

Mais qu’est-ce que cette petite bestiole ?
Selon le portail Santé Mieux Être du gouvernement du Québec, les poux sont de minuscules insectes de couleur grisâtre. Ils ont environ la taille d’une graine de sésame et sont à peine
visibles à l’œil nu. Ils se logent sur le cuir chevelu, près de la racine des cheveux, et parfois dans les sourcils. Ils ne sautent pas et ne volent pas. Leur durée de vie est environ de 20 à 30 jours.

Il est important de comprendre le « cycle de vie » du pou, car les œufs (lentes) peuvent prendre de 7 à 12 jours avant d’éclore et le cycle de vie recommence.

Les poux sont désagréables, mais ils ne sont pas dangereux. Ils ne transmettent pas de maladies et ne sont pas, contrairement à certaines croyances, causés par une mauvaise hygiène. Ils sont fréquents chez les enfants en milieu scolaire ou en service de garde, car ils se transmettent par contact direct soit de personne à personne ou encore en échangeant chapeaux, brosses à cheveux ou écouteurs.

La démangeaison du cuir chevelu est un bon indicateur de la présence de poux. Faites un bon examen de la tête de votre enfant sous un bon éclairage. Attention : les poux détestent la lumière donc ils fuiront ! Examinez donc les cheveux par sections.

Il existe plusieurs produits chimiques pour le traitement des poux. Plusieurs d’entre eux ne sont toutefois pas efficaces.
Je partage donc avec vous l’existence de produits naturels très efficaces contre ses invités indésirables.

Le « LICE STOP » de la compagnie TREEMENDA et la formule d’huiles essentielles pour les poux de la compagnie ROBERT ET FILS, sont des produits très efficaces.

Ces produits sont vendus dans les magasins de produits naturels.

Connaissez-vous d’autres produits qui fonctionnent bien? Écrivez-les dans les commentaires en bas afin d’aider les parents et les enfants à résoudre ce problème.

En prévention :
Prendre un bon supplément de complexe B est un moyen de prévenir
Mettre une goutte d’huile essentielle de lavande derrière chaque oreille de l’enfant, avant son départ à l’école, chaque matin.
Vous pouvez également utiliser les quelques gouttes d’huile essentielle de Mélaleuca ou quelques d’huile d’arbre à thé (tee trea).
Attachez les cheveux de vos enfants
Enseignez aux enfants de ne pas échanger chapeaux et autres

Vous pouvez trouver plus de renseignements en suivant le lien suivant : http://sante.gouv.qc.ca/problemes-de-sante/poux/