Pourquoi je souffre autant du décès de mon conjoint?

La perte d’un être cher n’est jamais facile, le vide causé par ce décès est immense et profond. On pense même quelquefois ne pas être suffisamment fort pour passer au travers cette peine. Certains diront que le temps arrange les choses. Je suis d’accord avec ce dicton pour la plupart des gens. C’est normal d’avoir cette douleur et cette peine et c’est normal aussi de pleurer. Le contraire le serait moins. Il faut faire face au deuil et le vivre.

La première année est bien sûr, toujours la plus difficile. Il y a son premier anniversaire de naissance sans lui, le premier Noël, sa musique, son repas, son lieu préféré,  les projets qui restent en suspend, la famille à supporter, les papiers légaux à régler, peut-être la maison et l’auto à vendre, le premier anniversaire de son décès, etc. Tout ça fait partie de la guérison. Ce sont des étapes difficiles, mais nécessaires pour atténuer sa peine et être sur la voie de la guérison.

La deuxième année,  le souvenir est toujours présent, mais la souffrance est moins grande. Lorsqu’une personne fait bien son deuil, la peine reliée au décès est de moins en moins grande et importante.

Cependant, si après une période d’environ 1 à 2 ans (cela varie pour chaque personne), la peine et la douleur sont encore vives. Si vous pleurez encore beaucoup cette personne, au point de vous isoler et d’avoir encore très mal en dedans, cette peine n’est plus tout à fait normale. Continuer la lecture

Être en paix avant le dernier voyage, est-ce possible ?

Dernièrement j’ai rencontré une dame de 87 ans. Nous avons discuté de choses et d’autres, mais le sujet qu’elle voulait vraiment discuter avec moi était comment régler le conflit dans sa famille avant de mourir.

Elle a passé au moins les 20 dernières années à essayer de les rassembler. À faire l’arbitre entre les membres de la famille. À faire semblant de ne pas être touché par ça. À ne pas montrer sa peine et même à se faire reprocher de prendre parti pour une ou pour l’autre.

Aujourd’hui à 87 ans,  son rêve est d’avoir l’harmonie dans sa famille, afin d’être en paix pour son dernier voyage me dit-elle.  Croyez-vous que c’est possible ?

Pour elle, partir en paix voulait dire que tous ses enfants, ses petits-enfants et ses arrière-petits-enfants soient réunis, en harmonie et qu’il n’y ait plus de mésentente. Son cœur de maman et de grand-maman  était blessé.

Après l’avoir écouté, je lui ai expliqué ceci. Continuer la lecture

Vos valeurs…un guide à suivre pour être heureux

Je compare les valeurs à un guide, à une petite voix intérieure, une sorte de boussole qui nous indique le bon chemin à suivre: celui de l’équilibre et de l’harmonie.

Les valeurs sont des convictions fondamentales que nous considérons importantes pour nous. Ce sont les règles que nous nous donnons, qui nous servent à effectuer nos choix de vie et qui orientent nos actions et nos comportements.

En fait, notre vie devrait être basée sur nos valeurs si nous voulons être heureux.

À quoi servent ces valeurs?

Elles vous permettent de:

  • Fixer vos limites
  • Respecter qui on est
  • Être en harmonie et en paix à l’intérieur
  • Faire des choix de vie satisfaisants
  • Construire notre identité
  • Mieux gérer les priorités

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Et si j’osais…réaliser mes rêves?

J’ai finalement OSÉ
Bonjour à vous tous, il y a quelque temps que je n’ai pas écrit d’article. C’est que je suis dans un processus de création intensif. Depuis quelques mois, je travaille très fort avec une «coach» d’affaires. Je suis en train de repenser complètement ma façon de travailler, afin de me rendre plus disponible à tous. Ce n’est pas que je veuille travailler plus fort, mais je crois sincèrement que le travail que je fais, doit être plus connu et accessible à tous.

Et bien, j’ai décidé de sortir de ma zone de confort et de mettre mon travail sur vidéo. J’ai ce rêve depuis plusieurs années déjà, puisque je veux aider le plus de gens possible.

Pourquoi ne pas l’avoir fait avant?

La réponse la plus sincère que je puisse vous donner est que j’étais bien dans ma petite routine, que les clientes venaient à moi par référence et que j’étais dans ma zone de confort. Cependant, il y avait toujours ma petite voix en dedans qui me disait depuis plusieurs années: «Pourquoi tu ne fais pas de vidéo, tu aideras encore plus de monde?» et une autre petite voix me disait aussi: «Les vidéos, c’est pour les autres, toi c’est du direct que tu fais». Continuer la lecture

L’installation du programme amour

Voici un message que j’ai reçu par courriel de Fabienne une connaissance à moi. Je l’ai trouvé tellement intéressant que j’ai décidé d’en faire un article.

– Bonjour comment puis-je vous aider?

– Je voudrais installer le programme « Amour ». Pourriez-vous m’indiquer la procédure, s’il vous plaît ?

– Bien sûr, prête pour l’installation ?

– Oui, mais je n’y connais pas grand chose en programmation. Par quoi commence-t-on?

– Ouvrir votre cœur est la première étape pour l’installation.

– Avez-vous localisé votre cœur, Madame ?

– Oui, je l’ai trouvé. Mais il y a d’autres programmes qui fonctionnent en même temps.

Puis-je continuer l’installation tout de même ?
– Voyons voir. Quels autres programmes fonctionnent présentement dans votre cœur ?

– Et bien, je vois « Blessures-du-passé.Exe », « Mauvaise-estime-de-soi.Exe »,
« Rancune.doc » « Colère.com. ». « Fausse-piété.ca ». « Absence-de-prières.live ».

– Pas de problème, Madame. L’installation de votre programme « Amour » effacera graduellement les « Blessures du passé » de votre système. Continuer la lecture

Les yeux de l’enfance

J’ai comme dicton : «La vie n’a pas besoin d’être compliqué », et un enfant comprend très bien ça puisqu’il n’a pas encore appris à se la compliquer.

Avez-vous déjà pris le temps de regarder un enfant jouer dehors, regarder la télé, ou simplement jouer avec un jouet? Regardez ses yeux, ils sont en communication direct avec son univers.

Il est là, dans le moment présent; dans son monde. Il ne se demande pas ce qu’il fera demain et il ne pense pas à ce qu’il a fait hier.

Non! Il ne se pose aucune question, il vit ce qu’il fait, à 100%.

Voir la vie avec nos yeux d’enfants, c’est d’être connecté avec soi, dans son cœur.

Un enfant ressent les choses, il ne réfléchit pas et n’analyse pas. Un enfant EST ce qu’il est. Continuer la lecture

Sans amoureux, manque-t-il quelque chose à mon bonheur?

Avant de répondre à cette question, j’aimerais donner mon opinion sur ce que c’est que le bonheur pour moi.

Pour moi le bonheur c’est d’abord et avant tout, être bien avec soi-même et être en paix à l’intérieur.

Comment pouvons-nous être heureux et trouver le bonheur avec quelqu’un, si nous ne sommes pas heureux avec nous même. Si nous sommes mal dans notre peau et si les émotions du passé et les blessures de notre enfance, nous hantent encore et envahissent notre vie. Pour trouver le vrai bonheur, il faut faire l’effort de prendre le temps d’analyser sa vie et ses comportements. Et surtout, il faut vouloir profondément être heureux et en paix en dedans.

On dit que la sagesse commence à s’installer dans la quarantaine. En général, c’est vers cet âge que la recherche de paix et de bonheur intérieur commence vraiment à surgir. Avant cette période, souvent, nous sommes beaucoup trop préoccupées à élever les enfants ou à performer au niveau de son travail.

Avoir 40 ans, nous amène souvent à réfléchir sur sa vie et à faire une mise au point sur ce que l’on veut réellement vivre et sur nos besoins réels. C’est souvent dans le milieu de la quarantaine que les questions commencent à surgir et qu’il y a une remise en question.

  • Est-ce que je réussis ma vie?
  • Est-ce que je réussis dans la vie?
  • Est-ce que mes besoins sont comblés?
  • Est-ce que c’est ça que je veux pour le reste de ma vie ?

C’est d’ailleurs pour ça qu’il y a énormément de séparation du couple pendant cette période.

Le bonheur ça ne s’achète pas. Si nous ne le trouvons pas à l’intérieur de nous, nous ne le trouverons pas nulle part ailleurs.

Alors pour répondre à la question de cet article, sans amoureux, manque-t-il quelque chose à mon bonheur ?

Je répondrai qu’un amoureux est un supplément à mon bonheur, qu’il participe à ce bonheur, mais que le bonheur ne se trouve pas en lui, ni en nous, mais bien en moi.
Être seul sans amoureux ne veut pas dire avoir une vie terne et sans plaisir. Le partage avec les amis et la famille sont importants et comblent une grande partie de ce manque.

Je connais des célibataires qui se disent heureux, parce qu’ils sont toujours très occupés et en demande. Cependant, si je creuse un peu et je pose les bonnes questions ou plutôt les vraies questions, qui s’adressent à leur cœur et non à leur tête, il y a presque toujours des réponses du genre, je suis bien, mais ça me manque de ne pas pouvoir partager avec un ou une partenaire.

PARTAGER! Voilà pour moi le bonheur. C’est le partage.
Le partage des petits bonheurs quotidiens.
C’est de me réveiller le matin avec mon partenaire de vie.
C’est de prendre un café relaxe le matin en écoutant les oiseaux.
C’est une niaiserie qui me fait pouffer de rire.
C’est une bonne marche main dans la main.
C’est de faire des activités ensemble.
C’est de voir amis et famille.
C’est de voyager ensemble.
C’est de se faire plaisir et…
C’est d’avoir hâte à la fin de journée de travail pour retrouver mon amoureux.

Et surtout, tout ceci dans la simplicité, la paix et l’harmonie.

Voilà pour moi ce qu’est le bonheur. Pas trop compliqué, n’est-ce pas?

Est-ce que ce genre de bonheur vous manque ?

Alors, malgré que je suis une femme épanouie personnellement et professionnellement et que la vie est bonne pour moi. Je crois en une relation homme/femme très harmonieuse.

Alors, sans amoureux, manque-t-il quelque chose à mon bonheur ?

Je dois être honnête avec vous et répondre oui à cette question. Peu importe ce que la vie me donne, si je ne peux pas le partager avec un complice, il me manquera toujours un petit quelque chose à mon bonheur.

Et vous, croyez vous que l’on peut être heureux à 100 % si on est seul sans amoureux ?

Donnez-moi votre opinion dans les commentaires.

Êtes-vous désarmé face à la solitude?

 

La solitude du cœur et de l’âme, vous connaissez?

Nous entendons régulièrement parler des personnes âgées qui sont seules, sans famille et amis pour leur rendre visite et c’est malheureusement très vrai que beaucoup de ces personnes souffrent de solitude.

Bien que je ne veuille absolument pas minimiser ce genre de solitude, j’aimerais porter mon article sur une autre forme de solitude. Celle dont on parle moins. Celle qui est moins visible, mais que l’on peut ressentir jusqu’au fond de ses tripes.

La solitude qu’on appelle, la solitude morale. Qui, selon le dictionnaire veut dire : État de quelqu’un qui est psychologiquement seul.

Moi je l’appelle, la solitude du cœur et de l’âme.

Je parle de cette solitude qui vient du plus profond de soi, qui vous accompagne au quotidien depuis l’enfance, sans même en avoir conscience parfois. Que ce soit à cause d’un manque d’amour, de l’abandon, de la dépendance, du jugement, du rejet ou de toutes sortes de peur. C’est une solitude hypocrite et sournoise, qui vous arrive en pleine face dans les moments ou vous y attendez le moins, et ce, malgré que nous sommes bien entourés et en bonne compagnie.

Peut-on apprivoiser cette solitude?

Bien sûr, nous pouvons apprivoiser cette solitude et apaiser notre cœur, que ce soit en faisant des lectures, des méditations, des rencontres de groupe, de la consultation avec un thérapeute ou du ressourcement. Pour fuir cette solitude, certains feront du bénévolat, d’autres travailleront 70 heures par semaines et d’autres prendront de l’alcool ou feront du sport en excès.

Cependant, tant que l’émotion qui est reliée à cette solitude est toujours présente en dedans, il y aura toujours ce sentiment de vide intérieur. Ce vide qui malgré toute notre bonne volonté, a tendance à nous tirer vers le bas.

La solitude de l’âme

Une autre forme de solitude qui se fait très discrète et qui a mon avis est encore plus profonde, c’est ce que j’appelle la solitude de l’âme.
Ça ne se passe pas au niveau physique, ni même au niveau du cœur, mais au niveau de l’âme.

C’est d’avoir l’impression de vivre dans une autre vibration totalement différente des autres.

C’est d’avoir le sentiment que personne ne voit ou ne ressent la même chose que nous et que personne ne peut nous dire : « Ça ne vas pas aujourd’hui?», puisque même nous, nous ne pouvons pas mettre des mots sur ce que l’on ressent.

Je parle ici du genre de solitude que tous les efforts physiques et émotionnels ne peuvent apaiser. Je parle du sentiment de vide en dedans, si fort et si puissant et dont nous n’avons pas le contrôle. Ce vide que seule la spiritualité et la croyance à un être supérieur peuvent apaiser.

Je ne parle pas ici d’un Dieu en particulier, vous êtes libre de croire à qui vous voulez, que ce soit Dieu, Bouddha ou une énergie supérieure ou divine. Mais pour apaiser ce genre de vide, croire en une forme d’énergie supérieure, aide beaucoup.

Lorsque des gens me parlent de ce genre de solitude, que ce soit la solitude du cœur ou de l’âme, je peux ressentir exactement ce dont ils me parlent. J’ai déjà ressenti cette solitude dans ma vie, je suis donc très à l’écoute des gens qui me disent vivre ce genre de solitude. Cependant, je suis la preuve que l’on vaincre ce sentiment de solitude.

Vaincre la solitude ne se fait pas en cliquant des doigts, mais il y a des solutions. Plusieurs peuvent être bonnes. il faut trouver la sienne.  L’important c’est de se sentir bien accompagné et en confiance.

En terminant, je vous pose ces questions et votre commentaire est très important.

Avez-vous connu la solitude?

Vous sentez-vous désarmé face à la solitude?

Quelle solution avez-vous essayée?

Chaque commentaire et témoignage aide quelqu’un d’autre.

La petite vieille en moi

Pour amorcer un changement dans notre vie, il nous faut souvent un moteur, un levier, quelque chose qui nous pousse à passer à l’action.

Un jour plutôt qu’un autre.

Là, maintenant.

Il nous faut alors un élément déclencheur qui nous tire de notre inertie et qui nous projette, en quelque sorte, dans un autre engrenage.

Cet élément déclencheur peut-être bien des choses. Il peut être un évènement marquant comme la mort d’un ami ou d’un parent ou encore la maladie d’un de nos proches ou notre propre état de santé. Mais, il peut-être aussi la rencontre avec quelqu’un qui nous impressionne ou que nous admirons, un film qui nous bouleverse, un roman qui nous inspire, un moment de méditation au sommet d’une montagne, un rêve qui nous a secoués, un cheminement personnel avec un thérapeute, un voyage particulier qui nous entraîne ailleurs, une soirée avec une bonne copine. Continuer la lecture